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Le vendredi 21 juin 2024, peu après le début des Championnats d’Afrique d’athlétisme au stade Japoma de Douala, Ta Lou n’a pas manqué de partager son mécontentement sur les réseaux sociaux. Elle se plaint des problèmes de transport, notamment du fait que son équipe a dû prendre un taxi « yango » pour se rendre au stade, alors qu’elle a vu une autre équipe africaine escortée par la police.

« Je suis blessée et déçue. Mon équipe a dû prendre un yango pour se rendre au stade parce que les transports sont nuls. Il y a tellement de choses que je voudrais dire sur l’organisation du Championnat d’Afrique. J’ai envie de pleurer parce qu’en plus, dans le taxi, on voit une autre équipe africaine escortée par la police. Pourquoi ne pas le faire pour tout le monde ? Si nous voulons changer, nous devons faire mieux. Aujourd’hui, nous avons des athlètes de haut niveau. Quand je suis arrivé ici, j’avais beaucoup d’attentes.complaisant.

Cette critique a suscité de vives réactions sur les réseaux sociaux, notamment de la part des Camerounais, qui se sont indignés du dysfonctionnement organisationnel et ont pointé du doigt le ministre des Sports, Narcisse Mouelle Kombi.

Un demi-tour gourmand

Cependant, le samedi 22 juin 2024, Ta Lou adopte un ton plus positif en postant un tweet faisant l’éloge de la gastronomie camerounaise. La nourriture ici ne m’a pas déçue, c’est vraiment à la hauteur de mes espérances, +10″, écrit-elle, avant de décrire les plats qui l’ont séduite : « DG de poulet, sole braisée et capitaine braisée, voilà ce que j’ai mangé, je continue ma dégustation culinaire, j’en dirai plus ».

Le séjour de Marie-Josée Ta Lou au Cameroun a été marqué par des moments contrastés.

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