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La nouvelle affaire « KSA » a pris une nouvelle tournure. Les accusations portées contre la Fécafoot par le président de KSA, Gilbert Kadji, sont fausses et infondées, a déclaré l’organisation basée à Tsinga dans un récent communiqué de presse.

Le président de la Kadji Sports Academy, Gilbert Kadji, a été suspendu de toute activité liée au football pour les cinq prochaines années. Cette décision fait suite au retrait général de son club de la compétition, confirmé par la commission régionale d’homologation.

S’adressant à la presse jeudi, Gilbert Kadji a déclaré que sur les 54 licences demandées, l’Académie n’en a reçu que 11. Cette situation a empêché le club de participer à la compétition. Cette situation a empêché le club de continuer à jouer des matches, a constaté la Commission régionale d’homologation du Littoral. Gilbert Kadji, suspendu pour cinq ans et condamné à une amende de cinq millions de francs CFA par la Fécafoot, dit ne pas comprendre ce qui se passe, évoquant même un règlement de compte. Pour lui, il y a une volonté de nuire à l’ASK. Il a également dénoncé le harcèlement de la Fécafoot. Ces graves allégations ont tiré la sonnette d’alarme dans le monde du sport, compte tenu de l’importance de KSA, qui a entraîné Samuel Eto’o, dans l’histoire du football camerounais.

Face à ces accusations, la Fécafoot, par la voix de son secrétaire général, est sortie de sa bulle.

Blaise Djounang a apporté quelques précisions. Selon lui, Gilbert Kadji a porté une série d’accusations infondées sur la situation de la licence de son club.

 » Après les contrôles et traitements habituels, seules 11 demandes étaient conformes au texte. En conséquence, le 19 avril, les services compétents de la Fécafoot ont délivré 11 licences. Le même jour, le club de Douala KSA a été informé via son compte FIFA-connect du rejet de 43 autres demandes.  », a déclaré le secrétaire général de la Fécafoot.

43 dossiers KSA rejetés par la Fécafoot : les raisons

Les raisons de ces rejets massifs sont diverses :

  • La carte d’identité nationale du joueur n’est pas légalisée ;
  • Carte nationale d’identité des parents non légalisée pour les mineurs) ;
  • Carte d’identité nationale non légalisée du joueur ;
  • Carte d’identité nationale du parent illisible ;
  • Formulaire d’inscription non conforme ;
  • Pas de reçu de paiement des droits de licence ;
  • Absence de certificat national de transfert (pour les joueurs d’autres clubs) ;
  • Certificat médical illisible.

Concernant la non-délivrance du Certificat International de Transfert (CIT) de Rony Ulrich Jordan Mimb Baheng, la fédération a ajouté qu’elle avait informé l’ASK des raisons de cette non-délivrance.

Lebledparle.com rapporte le texte intégral de la déclaration du Secrétaire général de la Fécafoot :

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